Escrita por Steve Goldman e Arlo Guthrie, em inglês, se chama City of New Orleans. Joe gravou sua versão em francês e lançou-a em 1972 no disco chamado apenas de Joe. A versão em francês foi escrita por Claude Lemesle e Richelle Dassin.
A letra:
Les
matins se suivent et se ressemblent
Quand l'amour fait place au
quotidien
On n'était pas fait pour vivre ensemble
Ça n'suffit
pas toujours de s'aimer bien
C'est drôle, hier, on
s'ennuyait
Et c'est à peine si l'on trouvait
Des mots pour se
parler du mauvais temps
Et maintenant qu'il faut partir
On a
cent mille choses à dire
Qui tiennent trop à cœur pour si peu
de temps
On s'est aimé comme on
se quitte
Tout simplement sans penser à demain
À demain qui
vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se
passent un peu trop bien
On fait c'qu'il faut,
on tient nos rôles
On se regarde, on rit, on crâne un peu
On
a toujours oublié quelque chose
C'est pas facile de se dire adieu
Et l'on sait trop bien
que tôt ou tard
Demain peut-être ou même ce soir
On va se
dire que tout n'est pas perdu
De ce roman inachevé, on va se
faire un conte de fées
Mais on a passé l'âge, on n'y croirait
plus
On s'est aimé comme on
se quitte
Tout simplement sans penser à demain
À demain qui
vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se
passent un peu trop bien
Roméo, Juliette et
tous les autres
Au fond de vos bouquins dormez en paix
Une
simple histoire comme la nôtre
Est de celles qu'on écrira
jamais
Allons petite, il faut partir
Laisser ici nos
souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va
nous voir passer
La patronne du café
Va encore nous dire
"salut les amoureux"
On s'est aimé comme on
se quitte
Tout simplement sans penser à demain
À demain qui
vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se
passent un peu trop bien
A versão de Joe Dassin:
A versão de TheWilaAcoustic:
A versão de Dave Dario: